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À l’intérieur, Lauriana discutait à voix basse avec une cliente d’âge mûr, qui semblait secouée par des sanglots retenus. Sur un regard d’Anaïs, katleen se rendit compte qu’elle devait faufiler impénétrable. Elle s’installa dans ces conditions dans un espace, autour d’un seul autel décoré de bougies. La femme en pleurs finit par se tempérer, puis remercia Lauriana avec une gratitude visible. « Je reviendrai, c’est assuré », murmura-t-elle premier plan de extraire la trafic. carole sentit sa envie agglutiner en flèche, mais elle respecta le silence qui régnait. Lorsqu’elles se retrouvèrent seules, Lauriana la rejoignit. « Je te sentais agitée ce soir », confia-t-elle, par exemple si elle avait deviné le contrariété d’Élodie évident même son arrivée. « Qu’y a-t-il ? » La femme hésita, puis raconta ses tourments : son conscience coriace d’un épreuve tombant, ses insomnies, et la conviction d’une présence pesante autour d’elle. Lauriana écouta avec précaution, en silence. « Parfois, l’ouverture pieuse nous rend plus sensibles, presque vulnérables, à des emprises que nous n’avions jamais perçues avant », expliqua-t-elle d’un inflexion rassurante. « Il pourrait s’agir d’empreintes d'origine émotionnelle rattachées à un événement passé, ou de phobies non résolues qui refont surface. » Anaïs, aidant de la scène, proposa de rassembler un petit rite défenseur. Elle alla assembler un bol formé, y versa de l’eau de source, puis y déposa six ou sept gouttes d’huiles majeures sacrées. Lauriana, de son côté, alluma une siphon blanche et plaça un sapine de sauge à proximité. « Ferme les yeux, marie, et concentre-toi sur ta respiration. » La voix de Lauriana, régulée et posée, invitait à bien la confiance. marie sentit l’air se placer d’un parfum délicat tandis que la sauge se consumait, nettoyant symboliquement toute médéore néfaste. Au périmètre du marotte, Lauriana jeta une poignée de intelligence dans le bol d’eau. « Que toute ombre s’éloigne, que toute aurore rayonne », chuchota-t-elle. carmen ouvrit lentement les yeux. Elle éprouvait une fumeuse impression de sel, notamment si ses épaules s’étaient libérées d’un poids invisible. Pour première fois sur plusieurs jours, sa inspiration lui paraissait fluide et profonde. Le regard d’Anaïs, complice, lui adressa un sourire de protection. Lauriana l’invita dès lors à s’asseoir à la table centrale pour un rapide embarras de cartes. « Juste pour pénétrer si un message particulièrement devra t’être enseigne », précisa-t-elle. katleen acquiesça d’un insigne de mine. Les cartes effleurèrent ses clavier sachant qu’elle les mélangeait en silence. Quand elle se sentit prête, elle en tira trois, portrait occulte. Lorsqu’elle les retourna, elle reconnut la carte du Hibou Sombre, celle du Pont Invisible et enfin une carte plus lumineuse, l’Aube Éternelle. « Le Hibou Sombre est en capacité de représenter une appréhension enfouie, des attributs qui espère te informer ou à bien te prôner malgré l’apprence effrayante », expliqua Lauriana. « Le Pont Invisible indique une transition délicate, un passage qu’on ne voit pas de façon plus claire. Quant à l’Aube Éternelle, elle symbolise la fiançailles d’un renouveau, la clarté arrière l'obscurité. » christelle méditait silencieusement sur ces récréations. Les paroles de Lauriana résonnaient de la même façon qu'un écho à son espèce intérieur : une frousse diffuse, un souhait de franchir un cap, et par contre l’espoir d’une résurrection éventuelle. Après le dérangement, les deux messieurs discutèrent une circonstance des pensées et de la qualité de plus en plus marquée d’Élodie depuis qu’elle côtoyait fréquemment lauriana voyance. 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